Caroline rougit

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il y a 9 ans

Caroline rougit

Elle semblait si petite, si fragile ! Lorsque Tom, mon coloc, m’a présenté sa nouvelle petite amie, je n’ai pu m’empêcher de rire. Franchement, elle devait mesurer à peine un mètre cinquante et à la façon dont elle se tenait les bras croisés, les yeux rivés au sol, je l’aurais imaginé plus petite encore !

— Mark, je te présente Carolyn .

Je lui ai tendu ma main et elle a regardé Tom avant de la serrer comme si elle voulait lui demander la permission.

Elle était assez jolie. Elle avait les cheveux châtain clair raides et mi-longs, des yeux marron sans charme et la peau blanche clairsemée de taches de rousseurs. Elle portait encore les rondeurs de l’e n f a n c e , en particulier au niveau du ventre et des fesses.

Elle n’avait pas vraiment de style, vêtue d’une jupe longue et d’une triple couche de hauts sur lesquels elle tirait comme pour cacher sa poitrine, au demeurant plutôt attirante.

Je pense qu’elle remarqua que je fixais sa poitrine car elle croisa ses bras dessus en rougissant.

— Quel âge a-t-elle ? demandai-je à Tom lorsqu’elle alla se servir à boire dans la cuisine.

—20 ans, pourquoi ?

— On dirait une lycéenne, répondis-je avec un petit sourire.

Tom, était un mec plutôt sympa. Il était assez classique et catholique pratiquant, ce que je n’ai jamais compris. Il n’était pas bien bavard, mais nous étions amis et colocataires depuis l’université. J’avais 25 ans, Tom 24 et notre colocation marchait plutôt bien. Carolyn était sa première petite amie depuis sa rupture avec son amour de jeunesse. Il venait donc de franchir une étape importante dans sa vie amoureuse.

Je ne saurais me l’expliquer, mais je pense que j’ai été attiré par Carolyn dès le premier jour. Peut-être était-ce son air d’avoir constamment peur de gêner ou bien cette façon qu’elle avait de toujours détourner le regard. Ce n’est pas comme si je la reluquais en permanence !

Mais elle semblait si intimidée en ma présence… J’étais plutôt pas mal, je faisais bien trente centimètres et cinquante kilos de plus qu’elle, je m’habillais mieux que Tom et surtout, j’avais beaucoup plus d’expérience que lui avec les filles.

Je ris intérieurement lorsqu’ils prirent leurs manteaux pour sortir. Je ne pouvais m’empêcher de les imaginer au lit, Tom et sa morale chrétienne, Carolyn et sa timidité maladive. Je parie qu’ils ne sont pas embrassés avant le troisième rendez-vous et qu’ils se réservent pour la nuit de noces.

Ils allèrent au cinéma et me laissèrent en proie à mon obsession pour cette petite chose si timide. Je ne travaillais pas ce week-end, n’avais rien de prévu donc je me servis quelques bières, regardai la télévision puis bus à nouveau quelques bières, si bien que j’étais d’excellente humeur lorsqu’ils rentrèrent.

Ils me sourirent nerveusement. Je me dis qu’ils voulaient peut-être s’embrasser sur le canapé donc je pris mes affaires et les rangeai dans ma chambre.

— Je vous laisse, j’allais me coucher.

— Non, rétorquèrent-ils en chœur. Tom rit. — Carolyn doit bientôt rentrer. Nous sommes juste repassés prendre son écharpe.

Tom se rendit à la salle de bain, ce qui me laissa un peu de temps avec elle.

— Alors Carolyn, tu vas à l’université ?

Elle acquiesça, mais ne me regardait toujours pas.

Je me levai et m’étirai pour voir à quel point j’étais bourré. Je m’avançai vers elle. Elle sembla se recroqueviller de peur. C’était vraiment étrange de voir quelqu’un me craindre autant.

Je lui souris et elle me rendit un sourire crispé.

— Tu sembles nerveuse en ma présence.

Elle avala sa salive. Elle semblait très gênée.

— Je… Non.

Elle était vraiment charmante, comme ça, frissonnante. En tous les cas, elle m’excitait vraiment. Je regardai en direction de la porte de la salle de bain. Je n’avais pas entendu la chasse d’eau, ni l’eau couler, aussi m’approchai-je d’elle. Je la reluquais ouvertement. Elle ne bougea pas, paralysée.

—Tu es mignonne, je comprends que Tom ait craqué sur toi.

Elle ne répondit pas, les yeux rivés au sol.

— Joli petit cul. Beaux seins.

Elle ne dit toujours rien, mais son visage tourna au rouge carmin. Je me sentais comme électrisé. Je prenais beaucoup de plaisir à la faire rougir si facilement.

Je posai ma main sur ses fesses. C’était très agréable. Ses fesses étaient rondes mais fermes ; je n’en attendais pas moins d’une jeune femme de vingt ans. Je les caressai, les massai un peu.

— Hm, j’aime ça.

Elle ouvrit la bouche mais il n’en sortit qu’un petit couinement de souris. J’entendis la chasse d’eau et la seconde suivante, j’étais assis sur le canapé, la laissant debout toute seule, rouge et abasourdie.

— Carolyn, est-ce que tu veux un café ou quelque chose ? lui demanda-t-il tendrement.

Elle fit non de la tête.

— Je… je ferais mieux de rentrer à la maison», murmura-t-elle. Tom acquiesça à contre cœur. Il faisait sa tête de chien battu.

J’étais nerveux lorsqu’ils partirent, et me demandai si elle allait lui dire ce que j’avais fait, mais quelque chose me dit qu’elle ne le ferait pas.

La fois suivante, ils étaient sur le canapé en train de regarder un film. Je leur souris, dis bonjour et allai me réchauffer à manger dans la cuisine.

Il s’était écoulé quelques jours et Tom, de toute évidence, ne savait pas que je lui avais peloté le cul. Ce souvenir m’obsédait et je me touchais la nuit en y repensant. Elle avait l’air effrayé, et pourtant elle n’avait rien fait pour y mettre fin. Je me demandai jusqu’où je pouvais aller.

— J’espère que ça ne vous dérange pas si je dine dans le salon. Je n’aime pas manger dans ma chambre, dis-je en m’asseyant sur une chaise près du canapé, du côté de Caroline. Notre appartement était vraiment petit et nous n’avions vraiment pas d’autre choix que de manger dans le salon ou dans nos chambres.

— Pas de problème. Le film est bientôt fini, répondit Tom en souriant. Carolyn regardait nerveusement la télévision.

—Je vais nous faire du popcorn, ajouta Tom en se levant. Carolyn semblait pétrifiée.

Dès qu’il fut hors de vue, je me penchai sur elle et lui sourit.

—J’ai pensé à ton p’tit cul sexy tous les soirs Carolyn. Tom a beaucoup de chance.

Je me rapprochai d’elle, et entendant Tom chercher le popcorn dans les tiroirs de la cuisine, je glissai ma main le long de sa jambe pour caresser son cul. Elle ne fit rien pour m’en empêcher et détourna simplement le regard. Je m’enhardis et pris ses seins dans le creux de mes mains. Ils étaient parfaits.

— Vivement que Tom nous laisse un peu plus de temps tous seuls. Nous pourrions mieux faire connaissance.

J’entendis la porte du micro-ondes claquer et repris ma place juste à temps.

— Le popcorn sera prêt dans quatre minutes. C’est comme au ciné, ici.

Je ne pus retenir un grand sourire sadique. Dans quatre minutes, je pourrai à nouveau goûter à Caroline. Lorsqu’il se leva, elle le suivit.

— As-tu besoin d’aide? l’implora-t-elle en l’attrapant par le bras.

Je dus me retenir d’exploser de rire. Il lui tapota le bras. —Non, non merci. Assieds-toi et profite du film. J’arrive bientôt. Je vais aussi faire fondre du beurre!

Je me levai dès qu’il eut disparu dans la cuisine et posai mes mains sur les hanches de Carolyn. Du fait de sa petite taille, sa tête m’arrivait à la poitrine. Elle la fixait, et ses joues rougirent à nouveau. J’adorais ça. J’adorais la sentir trembler dans mes bras.

Je l’enlaçai et lui pelotai encore une fois le cul, frottant mon sexe durci contre son ventre. Je l’embrassai dans le cou et lui grognai à l’oreille. — Tu veux me faire croire que tu es une gentille petite fille. Mais je peux te dire que tu aimes ça. Si ce n’étais pas le cas, tu me repousserais.

Je lui mordillai l’oreille, elle flancha, mais je dus m’interrompre lorsque j’entendis Tom revenir.

Mes attouchements reprenaient à chaque fois qu’elle passait avec Tom à l’appartement. Je lui pinçais les fesses, lui caressais les seins. J’espérais une occasion de pouvoir aller plus loin.

Quelques semaines plus tard, Tom proposa que nous passions la soirée tous les trois et que nous regardions un film qui venait de sortir en DVD.

Il amena Carolyn à l’appartement et proposa d’acheter des pizzas à emporter. Carolyn voulut l’accompagner, mais, toujours très galant, il insista pour y aller seul.

En fait, Tom s’était mis en tête que Carolyn ne m’aimait pas, ce qui était certainement vrai. Mais il ne savait pas que c’était parce que je la touchais et la tripotais. Il pensait que c’était juste parce que nous n’avions pas vraiment pris le temps de faire connaissance. Bien sûr, Tom n’avait pas eu cette idée tout seul, c’est ce que je lui avais dit. Tom était crédule et je dois dire que je peux être très convaincant lorsque je le veux. Tom suivit donc mon conseil de nous laisser passer un peu de temps en tête à tête afin d’apprendre à mieux nous connaître.

Lorsque Tom mit son manteau pour sortir, je dévisageai cette charmante petite Carolyn. Elle portait une jupe aux genoux et un chemisier. Elle portait également un gilet, mais elle le retira lorsque je montai le chauffage. Elle avait attaché ses cheveux en queue de cheval et avait mis du gloss rose sur ses lèvres boudeuses.

A peine fut il sorti que je me jetai sur elle, l’embrassant à pleine bouche. Elle tenta de me repousser, mais elle n’avait pas beaucoup de f o r c e . Je l’embrassai, ses lèvres avaient un goût de vanille. Je bandais. J’essayai de f o r c e r le passage de sa bouche pour y introduire ma langue, mais elle maintint les dents serrées. J’appuyai alors v i o l emment sur ses seins pour qu’elle s’allonge sur le canapé. Elle geignit lorsque je déboutonnai les premiers boutons de son chemisier et passai mes mains dessous. Elle prit fermement ma main, dans une vaine tentative de la retirer, sans jamais lâcher un mot de protestation.

Je regardai ma montre et me fixai une limite de quinze minutes. Je savais que devais lui laisser du temps pour se rhabiller mais j’étais déterminé à prendre mon plaisir avant le retour de Tom.

Je fis courir mes doigts le long de ses jambes, puis relevai sa jupe. Elle écarquilla les yeux de frayeur et tenta d’articuler quelque chose, mais aucun mot ne sortit de sa bouche. Elle avait l’air effrayé. Cela m’excita encore plus.

Ces jambes étaient blanches et douces et je tentai de me frayer un passage entre ses cuisses qu’elle maintenait désespérément fermées. En vain. J’étais énervé de ne pas parvenir à mes fins. Je pressai mes mains plus fort sur ses genoux, elle se tortilla pour m’échapper, mais elle ne put résister plus longtemps et je parvins aisément à ouvrir ses jambes. Elle tenta de les refermer, mais je la poussai à la renverse sur le canapé, les jambes en l’air et lui donnai une grosse fessée.

Les événements prenaient une tournure intéressante. Je la sentais tendue, mais ses jambes fléchissaient. Je la fessai encore pour qu’elle comprenne bien qu’elle était ma chose. Puis je glissai ma main entre ses cuisses.

— Bien, bien, bien, dis-je avec un sourire carnassier.

— C’est très intéressant tout ça. On dirait bien que notre petite sainte-nitouche est trempée. Je sentais sa culotte mouillée et l’écartai pour découvrir sa petite chatte rose, couverte d’une fine toison brune.

—Je me disais bien que tu étais une vraie salope, en fait, ajoutai-je en introduisant un doigt dans sa moiteur et en l’observant se débattre et gémir. Lorsque je glissai un doigt, elle saisit ma main, mais j’attrapai ses deux poignets d’une main et maintins mon étreinte afin qu’elle ne me gêne plus.

Je regardai ma montre. Je n’avais plus beaucoup de temps. Je la doigtai à nouveau et n’avais qu’une idée en tête : la baiser. Je n’en doutais plus, c’était une grosse chaudasse qui aimait être f o r c é e et j’allais la prendre. Ce n’était plus qu’une question de temps.

Je glissai mes doigts mouillés dans sa fente, et caressai doucement son clito. Elle ferma les yeux et se cambra.

— C’est ça, fais-toi plaisir salope. Tu veux que je te mette plus de doigts? Elle fit non, non de la tête et se mordit la lèvre. Je continuai, la doigtai plus ardemment encore. Je trouvai son clitoris, le frottai et fus surpris de le sentir allongé et gonflé. Les yeux fermés, elle gémit et arqua le dos. Je jouissais du pouvoir que j’exerçais sur elle. Je la regardai se raidir, son corps contre le mien. Alors, je m’interrompis.

— Tom ne va pas tarder à rentrer. Je ferais mieux d’arrêter, dis-je en lui souriant sadiquement. Je glissai mes doigts dans la bouche. J’aimais son goût.

Elle semblait embarrassée et frustrée. Les jambes fermées, elle réfléchissait à ce qu’elle devait dire ou faire.

— Sauf si tu veux continuer. Je la regardai dans les yeux, mais elle détourna le regard et haussa les épaules.

— Tu n’as qu’à me le demander.

A ce moment, on aurait dit qu’elle était sur le point de pleurer. Elle se tenait les jambes, les frottant l’une contre l’autre.

— Si mouillée et si près du but, mais ton excitation est retombée, n’est-ce pas ? Tu sais quoi, je suis vraiment bon avec ces choses-là. Je suis sûr que je peux te faire jouir en un rien de temps. Alors décide-toi rapidement avant qu’il ne soit trop tard.

Elle déglutit. «Ok», dit-elle.

— Non, pas Ok. Dis que tu en as envie. Je posai ma main sur ses jambes et les ouvris.

— Je le veux, dit-elle en faisant la moue. Mais alors la porte s’ouvrit sur Tom et Carolyn se redressa.

Tom entra en souriant, une pizza à la main. Je me délectai de l’observer si mal à l’aise pendant tout le film.

Une fois le film fini, je leur dis bonne nuit et les laissai seuls. Mais j’avais un plan. Je patientai longtemps dans ma chambre jusqu’à ce que Carolyn aille à la salle de bain. La salle de bain était juste à côté de ma chambre et on ne pouvait pas la voir du salon.

Lorsqu’elle passa, j’ouvris la porte et lui lançai un regard noir.

— Viens ici, salope, ordonnai-je dans l’embrasure de la porte de ma chambre.

C’était un test. C’était LE test. Si elle n’était qu’une fille craintive, trop timide pour oser de me dire d’arrêter, alors elle ne m’obéirait pas. Elle baissa le regard, les joues empourprées et rentra dans ma chambre. Je la poussai contre le mur et l’embrassai sauvagement. Je relevai sa jupe, glissai une main dans sa culotte à la recherche de son clito.

Je la retrouvai mouillée. Trempée plutôt. Je me demandai combien de temps elle était restée à côté de Tom dans le salon. Etait-elle restée assise à ne rien faire, mouillant comme une chienne en attendant un signe de ma part ?

Alors que je la doigtais, je lui pris la main et l’enfonçai dans mon boxer. Elle saisit ma bite en érection, sans bouger ; elle la tenait juste entre ses doigts et sa respiration s’accéléra.

Mes doigts étaient brillants de son jus, je lui caressai le clito en appuyant dessus et entrepris un lent mouvement circulaire avec deux doigts.

Elle se mit à me branler, doucement, avec hésitation.

— Je…,tenta-t-elle d’articuler à bout de souffle.

— S’il te plaît, tu vas me faire… ajouta-t-elle.

Elle tenta de glisser contre le mur, se tortilla pour échapper à mes doigts.

— Que veux-tu ?murmurai-je à son oreille, la guidant avec main pour qu’elle me caresse plus vite.

—Si… près du but…. Elle semblait vraiment le vouloir son orgasme, mais elle luttait pour ne pas crier.

Je glissai un doigt en elle. Elle était si étroite, et j’avais de si gros doigts que je crus que je ne pourrais jamais en introduire un deuxième. C’était un charmant spectacle. Elle prit peur quand elle se mit à jouir. Je la doigtai tout en caressant son clito du bout du pouce ; elle mit ses mains à la bouche afin d’étouffer ses cris.

Dès qu’elle eut joui, elle sortit en trombe de ma chambre, et s’enferma dans la salle de bain. Je bandais dur. Je bandais et je voulais baiser.

Tom frappa à la porte de la salle de bain.

—Ça va ? lui demanda-t-il.

Je me ressaisis, enfilai un bas de jogging et ouvris la porte.

— Qu’est ce qui se passe ?

Tom semblait ennuyé.

— Ça fait longtemps qu’elle est là-dedans.

Je hochai de la tête en signe de soutien.

—Carolyn, ça va ? insista-t-il.

— Oui, oui… j’ai juste un peu mal au ventre. On aurait dit qu’elle pleurait.

Tom avait l’air très inquiet.

— Tu devrais peut-être aller lui chercher des médicaments à la pharmacie, proposai-je sur un ton attentionné.

Tom trouva que c’était une bonne idée.

—Veux-tu que j’aille à la pharmacie acheter des médicaments pour ton ventre?

Silence.

— Je…, ça va.

Je serrai les dents.

—Carolyn, je pense vraiment que c’est une bonne idée, renchéris-je d’une voix assurée. Tom me regarda un peu bizarrement.

Silence, à nouveau.

— Oh… d’accord…, dit-elle docilement. Cette fois-ci, il n’y avait plus de doute. Elle pleurait.

Tom sourit, soulagé de pouvoir se rendre utile. Je l’encourageai d’une tape dans le dos.

Une fois la porte d’entrée fermée, je frappai à la porte de la salle de bain.

— Ouvre la porte maintenant, dis-je lentement, mais d’un ton déterminé.

Je l’entendis renifler derrière la porte.

— Je… je ne devrais pas. J’aime Tom, je ne veux pas le trom…

J’écumais. — Ouvre la porte, immédiatement. Ne me f o r c e pas à te le redemander.

Il y eut un S a n g lot, un reniflement, puis le bruit de la serrure et la porte qui s’ouvre.

Elle ne ressemblait pas à grand-chose, la queue de cheval défaite, le maquillage coulant sur ses joues. J’avais la gaule. Une énorme gaule. Elle fixait piteusement le sol. Je la retournai de telle sorte qu’elle se retrouva en appui face au lavabo. Je remontai sa jupe sur ses hanches.

— Je… ne veux pas le tromper, dit-elle sans me regarder.

Elle portait une culotte de coton blanche à fleurs. J’en attrapai un bout, tirai dessus puis déchirai la culotte.

— Alors dis-moi non, salope.

J’ouvris ma braguette et baissai mon pantalon pour sortir ma bite.

— Tu ne devrais pas, murmura-t-elle.

Je lui frappai les fesses.

Elle était un peu trop petite, dut se mettre sur la pointe des pieds et je dus la pousser un peu plus fort contre le lavabo pour mieux la prendre.

Si j’avais encore quelques doutes sur ce qu’elle voulait vraiment, ils disparurent au moment où ma bite frôla sa chatte. Elle était si trempée que même ses cuisses étaient mouillées.

Je poussai du bout de mon sexe et elle laissa s’échapper un long S a n g lot. Elle tenait sa chatte serrée, mais je n’avais plus beaucoup de temps, Tom serait bientôt de retour.

Je poussai, et comme elle mouillait vraiment beaucoup, je pus m’introduire en elle, mais elle était si étroite que je ne pus la baiser aussi fort que je l’aurais souhaité.

Je tirai sur ses cheveux. Elle cria.

— Ouvre les yeux et regarde- toi te faire prendre comme une pute dans la salle de bain.

Elle ouvrit ses yeux emplis de larmes et fixa son reflet dans le miroir.

— Allez, dis-moi ce que tu es.

J’essayais de ne pas lui montrer mon inquiétude. Tom serait là d’un moment à l’autre.

— Je suis… une pute», répondit-elle dans un souffle alors que je la sentais se resserrer autour de ma bite, «une pute… qui baise le coloc de son copain.

J’attrapai ses fesses fermement, suffisamment fort pour y laisser des marques. J’étais sur le point de jouir. Je le sentais sur chaque centimètre de ma peau. Je me retirai, la tournai et la jetai à genoux.

Son visage était livide mais ses joues étaient rouges comme celles d’une poupée. Ses yeux avaient presque tourné au bleu, tant elle avait pleuré. Elle semblait alors tellement plus jeune que ses vingt ans ! Je me branlais de plus en plus vite jusqu’à sentir le premier jet monter en moi. Puis je lui mis ma bite dans la bouche.

Je doutai qu’elle sache s’y prendre, mais elle me suça à a perfection. Je jouis furieusement dans sa bouche et elle me suçait encore lorsque je commençai à débander. Je me rhabillai et la regardai par terre. Mon premier jet avait atterri sur son menton, mais elle avait avalé tout le reste. Son regard se perdait dans le vide.

— Tu as parfaitement avalé, lui dis-je lorsque nos regards se croisèrent. Pour la première fois, j’y lus une attitude de défi, de fierté même. Je quittai la salle de bain et fermai la porte derrière moi.

Tom revint cinq minutes plus tard. Carolyn s’était lavée et était assise sur le canapé, les yeux rouges, le visage sans expression. Je les entendis chuchoter pendant quelques minutes, puis elle partit. Tom me dit qu’elle rentrait chez elle. Il s’assurerait le lendemain qu’elle allait bien. Elle pensait qu’il s’agissait probablement d’une intoxication alimentaire.

Ce fut la dernière fois que je la vis. C’était il y a tout juste une semaine. Je l’imagine obsédée par ce qui venait de se passer, tiraillée entre la culpabilité et l’excitation. Allez, je lui donne un jour de plus, et je me permettrai peut-être une visite chez elle.

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